L’exposition commémorant les 50 ans du Gendarme de Saint-Tropez, le centenaire de la naissance de Louis de Funès ainsi que le cinquantenaire de la Ford Mustang, a fermé ses portes, salle Jean-Despas, le 18 septembre. Avec un record à la clé : plus de 44 000 visiteurs pour un peu plus de trois semaines d’ouverture. Un bilan tout simplement remarquable et qui préfigure déjà de l’engouement du public pour le futur musée de la gendarmerie et du cinéma de Saint-Tropez qui ouvrira ses portes début 2016.
A noter que pour tous ceux qui n’auraient pu visiter l’exposition : les produits de la boutique de l’expo sont désormais en vente à la Direction de la Culture, 67 rue Gambetta, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h (catalogue en français ou anglais : 10€ ; magnet 5€ ; grande affiche : 5€ ; petite affiche : 3€ ; carte postale : 1€).
Rappelons que l’exposition est une inititiave de la ville de Saint-Tropez, et notamment de sa direction des Affaires culturelles.
De Funès et le gendarme de Saint-Tropez par Ville-de-Saint-Tropez
L’exposition présente l’histoire du Gendarme mais aussi la carrière de Louis de Funès.
« Le Gendarme se marie » : des Tropéziens, comme Josette Bain, se souviennent.
Un salon de projection idéal pour regarder vidéos, extraits de fims et entrevues.
La sculpture de Louis de Funès dans son rôle du gendarme est l’oeuvre de Pierre-Louis Gayraud
La Ford Mustang est apparue pour la première fois en France dans « Le Gendarme de Saint-Tropez ».
De gauche à droite : Claude Bérard, 1er adjoint, Jean-François André, directeur de la culture, Jean-Claude Duprée, président du Mustang Club de France, Henri Chemin qui prêta sa Ford Mustang pour le tournage du premier Gendarme, la « gendarmette » Nicaise Saint-Louis, le maire Jean-Pïerre Tuveri, la « gendarmette » Catrherine Serre, la « gendarmette » Babeth, Rémy Julienne et Gwenaé «lle Van Butsele, commissaire de l’exposition.
Les gendarmettes autour le gendarme de Saint-Tropez.
L’exposition commémorant les 50 ans du Gendarme de Saint-Tropez, le centenaire de la naissance de Louis de Funès ainsi que le cinquantenaire de la Ford Mustang, a fermé ses portes, salle Jean-Despas, le 18 septembre. Avec un record à la clé : plus de 44 000 visiteurs pour un peu plus de trois semaines d’ouverture. Un bilan tout simplement remarquable et qui préfigure déjà de l’engouement du public pour le futur musée de la gendarmerie et du cinéma de Saint-Tropez qui ouvrira ses portes début 2016.
A noter que pour tous ceux qui n’auraient pu visiter l’exposition : les produits de la boutique de l’expo sont désormais en vente à la Direction de la Culture, 67 rue Gambetta, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h (catalogue en français ou anglais : 10€ ; magnet 5€ ; grande affiche : 5€ ; petite affiche : 3€ ; carte postale : 1€).
Rappelons que l’exposition est une inititiave de la ville de Saint-Tropez, et notamment de sa direction des Affaires culturelles.
De Funès et le gendarme de Saint-Tropez par Ville-de-Saint-Tropez
L’exposition présente l’histoire du Gendarme mais aussi la carrière de Louis de Funès.
« Le Gendarme se marie » : des Tropéziens, comme Josette Bain, se souviennent.
Un salon de projection idéal pour regarder vidéos, extraits de fims et entrevues.
La sculpture de Louis de Funès dans son rôle du gendarme est l’oeuvre de Pierre-Louis Gayraud
La Ford Mustang est apparue pour la première fois en France dans « Le Gendarme de Saint-Tropez ».
De gauche à droite : Claude Bérard, 1er adjoint, Jean-François André, directeur de la culture, Jean-Claude Duprée, président du Mustang Club de France, Henri Chemin qui prêta sa Ford Mustang pour le tournage du premier Gendarme, la « gendarmette » Nicaise Saint-Louis, le maire Jean-Pé¯erre Tuveri, la « gendarmette » Catrherine Serre, la « gendarmette » Babeth, Rémy Julienne et Gwenaé«lle Van Butsele, commissaire de l’exposition.
Les gendarmettes autour le gendarme de Saint-Tropez.
