Les amateurs de musique le confirment : la cuvée 2011 du festival des Nuits du château de la Moutte a été excellente. Le cadre majestueux du château de la Moutte, celui plus romantique encore de la plage des Canebiers et surtout la programmation concoctée par le directeur artistique Jean-Philippe Audoli ont attiré quelque 4 000 spectateurs en neuf concerts.
Une très bonne fréquentation pour un festival qui a permis au public d’écouter, entre autres, les pianistes Cyprien Katsaris, Andrei Korobeinikov ou bien encore l’immense Boris Berezovsky, qui a interprété avec brio une œuvre rarement jouée, les Suites transcendantes de Franz Liszt. Dans un autre genre, la compagnie de flamenco de Felipe Mato a fait un tabac deux soirs de suite, la deuxième représentation se déroulant sur la place de la mairie. Côté jazz, le trio Stochelo Rosenberg accompagné par le violon magique de Didier Lockwood a rendu un hommage étincelant à Django Reinhardt.
Et comme chaque année, Jean-Philippe Audoli a surpris les habitués du festival en programmant le Mozart arménien, le génial pianiste Tigran Hamasyan au jazz mâtiné de sonorités caucasiennes. Vivement l’an prochain !
Les amateurs de musique le confirment : la cuvée 2011 du festival des Nuits du château de la Moutte a été excellente. Le cadre majestueux du château de la Moutte, celui plus romantique encore de la plage des Canebiers et surtout la programmation concoctée par le directeur artistique Jean-Philippe Audoli ont attiré quelque 4 000 spectateurs en neuf concerts.
Une très bonne fréquentation pour un festival qui a permis au public d’écouter, entre autres, les pianistes Cyprien Katsaris, Andrei Korobeinikov ou bien encore l’immense Boris Berezovsky, qui a interprété avec brio une œuvre rarement jouée, les Suites transcendantes de Franz Liszt. Dans un autre genre, la compagnie de flamenco de Felipe Mato a fait un tabac deux soirs de suite, la deuxième représentation se déroulant sur la place de la mairie. Côté jazz, le trio Stochelo Rosenberg accompagné par le violon magique de Didier Lockwood a rendu un hommage étincelant à Django Reinhardt.
Et comme chaque année, Jean-Philippe Audoli a surpris les habitués du festival en programmant le Mozart arménien, le génial pianiste Tigran Hamasyan au jazz mâtiné de sonorités caucasiennes. Vivement l’an prochain !