Le jour de la Toussaint, Saint-Tropez a commémoré, devant le monument aux morts pour la France, le sacrifice de ces enfants tombés au champ d’honneur pour la patrie et ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Après l’envoi des couleurs, le général Martin, président du Souvenir français, le Dr Bourrier, président du Comité d’entente des associations patriotiques et le maire Jean-Pierre Tuveri ont prononcé des discours avant le dépôt de gerbes au pied du monument.
Dans son allocution, le maire a rappelé l’indispensable devoir de mémoire que nous devons suivre pour tirer les enseignements du passé et mieux préparer l’avenir.
« Quel que fut le conflit concerné, le théâtre d’opération, l’arme dans laquelle ils servirent, nous nous devons non seulement de perpétuer un souvenir mais aussi de tirer les enseignements de leur sacrifice. 21 ans après la chute du mur de Berlin et la réunification de l’Europe, nous ne devons pas perdre de vue que notre monde demeure traversé de zones de tension et de conflits, notamment au Proche-Orient et en Asie, en particulier en Afghanistan où nos soldats sont toujours engagés.
Par ailleurs, la menace du terrorisme reste toujours présente. Et si les printemps arabes ont suscité un vent d’espoir, les fondements d’un retour durable à la démocratie sont encore loin d’avoir été établis. Il nous faut donc rester vigilants afin de maintenir la paix et d’assurer à nos enfants un monde meilleur. Mais, c’est en gardant bien vivant le souvenir douloureux des conflits passés et en perpétuant la mémoire de celles et ceux qui sont morts pour la France que nous pourrons prévenir le retour de toutes ces tragédies et véritablement apprécier la chance qui est la nôtre de vivre aujourd’hui en paix et de nous voir ainsi épargnés des horreurs de la guerre ».
Le jour de la Toussaint, Saint-Tropez a commémoré, devant le monument aux morts pour la France, le sacrifice de ces enfants tombés au champ d’honneur pour la patrie et ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Après l’envoi des couleurs, le général Martin, président du Souvenir français, le Dr Bourrier, président du Comité d’entente des associations patriotiques et le maire Jean-Pierre Tuveri ont prononcé des discours avant le dépôt de gerbes au pied du monument.
Dans son allocution, le maire a rappelé l’indispensable devoir de mémoire que nous devons suivre pour tirer les enseignements du passé et mieux préparer l’avenir.
«Quel que fut le conflit concerné, le théâtre d’opération, l’arme dans laquelle ils servirent, nous nous devons non seulement de perpétuer un souvenir mais aussi de tirer les enseignements de leur sacrifice. 21 ans après la chute du mur de Berlin et la réunification de l’Europe, nous ne devons pas perdre de vue que notre monde demeure traversé de zones de tension et de conflits, notamment au Proche-Orient et en Asie, en particulier en Afghanistan où nos soldats sont toujours engagés.
Par ailleurs, la menace du terrorisme reste toujours présente. Et si les printemps arabes ont suscité un vent d’espoir, les fondements d’un retour durable à la démocratie sont encore loin d’avoir été établis. Il nous faut donc rester vigilants afin de maintenir la paix et d’assurer à nos enfants un monde meilleur. Mais, c’est en gardant bien vivant le souvenir douloureux des conflits passés et en perpétuant la mémoire de celles et ceux qui sont morts pour la France que nous pourrons prévenir le retour de toutes ces tragédies et véritablement apprécier la chance qui est la nôtre de vivre aujourd’hui en paix et de nous voir ainsi épargnés des horreurs de la guerre».