C’est en présence de plusieurs descendants du peintre, dont son petit-fils Jean-Charles, mis à l’honneur par le musée de l’Annonciade que le 1er adjoint Claude Bérard et le conservateur des lieux, Jean-Paul Monery, ont inauguré vendredi 16 mars l’exposition consacrée à Charles Dufresne. Cet artiste relativement peu connu du grand public a découvert la couleur à l’occasion d’un séjour en Algérie, entre 1910 et 1912, dans la villa Abd-el-Tif, la « villa Médicis d’Alger ». De retour en France, il reporte sur des tableaux grand format des paysages, des scènes de chasse ou de la vie courante. C’est cette période de l’art de Dufresne que Jean-Paul Monery, le conservateur de l’Annonciade, a tenu à montrer, ainsi que sa période post-africaine qui rappelle les œuvres de Gauguin, voire de Chagall. Au total, une trentaine de toiles et dessins visibles au musée jusqu’au 17 juin.
C’est en présence de plusieurs descendants du peintre, dont son petit-fils Jean-Charles, mis à l’honneur par le musée de l’Annonciade que le 1er adjoint Claude Bérard et le conservateur des lieux, Jean-Paul Monery, ont inauguré vendredi 16 mars l’exposition consacrée à Charles Dufresne. Cet artiste relativement peu connu du grand public a découvert la couleur à l’occasion d’un séjour en Algérie, entre 1910 et 1912, dans la villa Abd-el-Tif, la «villa Médicis d’Alger». De retour en France, il reporte sur des tableaux grand format des paysages, des scènes de chasse ou de la vie courante. C’est cette période de l’art de Dufresne que Jean-Paul Monery, le conservateur de l’Annonciade, a tenu à montrer, ainsi que sa période post-africaine qui rappelle les œuvres de Gauguin, voire de Chagall. Au total, une trentaine de toiles et dessins visibles au musée jusqu’au 17 juin.
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