Les 4 000 marins présents durant la semaine des Voiles, du 29 septembre au 6 octobre, se souviendront sans doute longtemps encore de cette cuvée 2013 bien frappée par des conditions météorologiques très contrastées. Au petit temps du premier jour de course a succédé les mardi et mercredi une brise toujours plus puissante et une mer clapoteuse à souhait, le tout couronné d’un chaud soleil estival. Des conditions idéales pour les 300 voiliers, anciens et modernes, et leurs skippers qui se sont régalés. Hélas, leur joie a été de courte durée.
Dès le jeudi, le fort vent d’est soufflant à plus de 30 nœuds a cloué le gros de la flotte au port. Seuls de grands voiliers (Monnbeam III, Lelantina ou Altaïr) barrés par des marins téméraires ont osé braver les creux de trois mètres pour le plus grand bonheur des photographes qui ont pu ainsi réaliser des images d’anthologie. Le mauvais temps s’est poursuivi vendredi, la mer déchaînée interdisant toute régate. Les orages de la nuit suivante ont finalement eu raison du vent d’est, et samedi après-midi, la compétition a repris sous un soleil radieux. Une foule innombrable a ainsi pu admirer le ballet nautique mémorable des ketch, yawl et autres grands voiliers auriques. Un spectacle inoubliable…avant un nouvel épisode venteux et pluvieux qui a obligé les organisateurs à déplacer la remise des prix de la citadelle au village des Voiles.
Bousculée par les caprices d’Eole, l’épreuve 2013 organisée par la Société nautique de Saint-Tropez, avec le concours du port et de la ville, restera toutefois dans les mémoires par le remarquable plateau proposé. 300 bateaux, dont 115 voiliers de tradition, une douzaine de magnifiques cotres et goélettes auriques, une douzaine également de Wally, ces coursiers des mers ultra-modernes, quatre somptueux classe J dont le fabuleux Velsheda et son mât de 56 mètres… Bref, de quoi embrasser près de 130 ans d’architecture navale en un seul coup d’œil.
Les 4 000 marins présents durant la semaine des Voiles, du 29 septembre au 6 octobre, se souviendront sans doute longtemps encore de cette cuvée 2013 bien frappée par des conditions météorologiques très contrastées. Au petit temps du premier jour de course a succédé les mardi et mercredi une brise toujours plus puissante et une mer clapoteuse à souhait, le tout couronné d’un chaud soleil estival. Des conditions idéales pour les 300 voiliers, anciens et modernes, et leurs skippers qui se sont régalés. Hélas, leur joie a été de courte durée.
Dès le jeudi, le fort vent d’est soufflant à plus de 30 nœuds a cloué le gros de la flotte au port. Seuls de grands voiliers (Monnbeam III, Lelantina ou Altaé¯r) barrés par des marins téméraires ont osé braver les creux de trois mètres pour le plus grand bonheur des photographes qui ont pu ainsi réaliser des images d’anthologie. Le mauvais temps s’est poursuivi vendredi, la mer déchaînée interdisant toute régate. Les orages de la nuit suivante ont finalement eu raison du vent d’est, et samedi après-midi, la compétition a repris sous un soleil radieux. Une foule innombrable a ainsi pu admirer le ballet nautique mémorable des ketch, yawl et autres grands voiliers auriques. Un spectacle inoubliable…avant un nouvel épisode venteux et pluvieux qui a obligé les organisateurs à déplacer la remise des prix de la citadelle au village des Voiles.
Bousculée par les caprices d’Eole, l’épreuve 2013 organisée par la Société nautique de Saint-Tropez, avec le concours du port et de la ville, restera toutefois dans les mémoires par le remarquable plateau proposé. 300 bateaux, dont 115 voiliers de tradition, une douzaine de magnifiques cotres et goélettes auriques, une douzaine également de Wally, ces coursiers des mers ultra-modernes, quatre somptueux classe J dont le fabuleux Velsheda et son mât de 56 mètres… Bref, de quoi embrasser près de 130 ans d’architecture navale en un seul coup d’œil.
Le trophée Rolex est allé à l’équipage d’Ikra, un voilier qui a fait la légende de la Nioulargue.
Jeudi, défilé des équipages dans la bonne humeur