A l’occasion de la semaine nationale du Développement durable et avec le concours de la ville de Saint-Tropez, l’association «La Bande à DD» a organisé sur le week-end de Pâques deux opérations de sensibilisation au développement durable. Tout d’abord, dans le cadre du château-hôtel de la Messardière, la conférence du professeur Léo Dayan de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, samedi 3 avril à 18h, a suscité un grand intérêt auprès des acteurs économiques présents. Comment donner aux acteurs du local une place déterminante dans les approches économiques et internationales du développement durable ? Comment encourager les entreprises locales à mettre en œuvre la durabilité locale ?
En réponse à ces questions, Léo Dayan préconise trois mesures : défiscaliser l’emploi, éco-imposer le capital «non durable» et taxer les importations de biens polluants.
Le lendemain, une vingtaine d’exposants ont proposé, sur la place des Lices, des produits alimentaires, des vêtements et même des services «bio», comme ceux proposés par les artisans du réseau coopératif varois «Ecobâtissons».
A l’occasion de la semaine nationale du Développement durable et avec le concours de la ville de Saint-Tropez, l’association «La Bande à DD» a organisé sur le week-end de Pâques deux opérations de sensibilisation au développement durable. Tout d’abord, dans le cadre du château-hôtel de la Messardière, la conférence du professeur Léo Dayan de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, samedi 3 avril à 18h, a suscité un grand intérêt auprès des acteurs économiques présents. Comment donner aux acteurs du local une place déterminante dans les approches économiques et internationales du développement durable ? Comment encourager les entreprises locales à mettre en œuvre la durabilité locale ?
En réponse à ces questions, Léo Dayan préconise trois mesures : défiscaliser l’emploi, éco-imposer le capital «non durable» et taxer les importations de biens polluants.
Le lendemain, une vingtaine d’exposants ont proposé, sur la place des Lices, des produits alimentaires, des vêtements et même des services «bio», comme ceux proposés par les artisans du réseau coopératif varois «Ecobâtissons».