Tradition, recueillement et dévotion étaient cette année encore les maîtres-mots du traditionnel pèlerinage à Pise. Plus d’une soixantaine de pèlerins, conduits par le Cépoun Serge Astézan et le Capitaine de Ville, se sont rendus, du 27 au 30 avril dernier, sur les lieux mêmes du martyr du chevalier Torpes, avant de se recueillir en l’église Saint-Tropez à Pise où est conservé le reliquaire contenant la tête du Saint décapité en l’an 68, après sa conversation au catholicisme, sur ordre l’empereur Néron.
A l’occasion d’une réception officielle à l’Hôtel de Ville de Pise, dans l’imposante Salle des Baléares, le Premier adjoint, Claude Bérard, représentant Monsieur le Maire, a souligné l’importance des liens entre les deux cités, «des liens indéfectibles qui ont fondé une partie de l’identité culturelle de notre ville». Avant de conclure en formant le vœu que «le temps n’ait pas de prise sur ces liens, mais qu’au contraire il les renforce et qu’il nous permette d’avancer ensemble.»
Tradition, recueillement et dévotion étaient cette année encore les maîtres-mots du traditionnel pèlerinage à Pise. Plus d’une soixantaine de pèlerins, conduits par le Cépoun Serge Astézan et le Capitaine de Ville, se sont rendus, du 27 au 30 avril dernier, sur les lieux mêmes du martyr du chevalier Torpes, avant de se recueillir en l’église Saint-Tropez à Pise où est conservé le reliquaire contenant la tête du Saint décapité en l’an 68, après sa conversation au catholicisme, sur ordre l’empereur Néron.
A l’occasion d’une réception officielle à l’Hôtel de Ville de Pise, dans l’imposante Salle des Baléares, le Premier adjoint, Claude Bérard, représentant Monsieur le Maire, a souligné l’importance des liens entre les deux cités, «des liens indéfectibles qui ont fondé une partie de l’identité culturelle de notre ville». Avant de conclure en formant le vœu que «le temps n’ait pas de prise sur ces liens, mais qu’au contraire il les renforce et qu’il nous permette d’avancer ensemble.»