Annoncé par une exposition sur les grilles de la salle Jean-Despas et de la rue Clemenceau, le spectacle de danse argentine Che Malombo a subjugué les 1500 personnes présentes à la citadelle pour une soirée d’exception. Les 14 danseurs du Ballet d’Argentine «Pampa furiosa» ont offert un récital de «malambo», une danse très expressive où il est question d’affrontements virils et de démonstrations virtuoses notamment dans l’art de faire tourner les «bolas». Le plancher de la scène de la citadelle en tremble encore, en écho aux furieuses ruades et au claquement des talons des gauchos, et, à l’unisson, les travées résonnent de l’ovation fournie d’un public conquis. Généreux, les artistes ont poursuivi leurs acrobatiques contorsions de longues minutes après le final. Bravo à Pampa furiosa !
Avant le spectacle, le maire Jean-Pierre Tuveri a rappelé que cette soirée s’inscrivait dans le cadre de la commémoration à Saint-Tropez du bicentenaire de la révolution argentine de mai 1810. L’occasion pour le premier magistrat tropézien d’évoquer le personnage d’Hippolyte Bouchard qui constitue le lien entre l’Argentine et notre ville. Une transition parfaite pour Gonzague Saint-Bris : d’une voix d’abord posée, puis par moments vibrante aux accents d’André Malraux, le journaliste-écrivain raconta avec brio l’histoire épique de ce marin-pêcheur tropézien qui devint un héros de la Révolution du pays albiceleste.
Après ce remarquable exposé, son Excellence Luis Ureta de Saenz Peé±a, ambassadeur de la République argentine en France, et le maire Jean-Pierre Tuveri ont dévoilé le buste en bronze offert par l’Etat argentin. Les hymnes des deux pays et la levée des couleurs ont ponctué la partie protocolaire de la soirée, scellant le lien entre Saint-Tropez et le pays d’Amérique latine.
Annoncé par une exposition sur les grilles de la salle Jean-Despas et de la rue Clemenceau, le spectacle de danse argentine Che Malombo a subjugué les 1500 personnes présentes à la citadelle pour une soirée d’exception. Les 14 danseurs du Ballet d’Argentine «Pampa furiosa» ont offert un récital de «malambo», une danse très expressive où il est question d’affrontements virils et de démonstrations virtuoses notamment dans l’art de faire tourner les «bolas». Le plancher de la scène de la citadelle en tremble encore, en écho aux furieuses ruades et au claquement des talons des gauchos, et, à l’unisson, les travées résonnent de l’ovation fournie d’un public conquis. Généreux, les artistes ont poursuivi leurs acrobatiques contorsions de longues minutes après le final. Bravo à Pampa furiosa !
Avant le spectacle, le maire Jean-Pierre Tuveri a rappelé que cette soirée s’inscrivait dans le cadre de la commémoration à Saint-Tropez du bicentenaire de la révolution argentine de mai 1810. L’occasion pour le premier magistrat tropézien d’évoquer le personnage d’Hippolyte Bouchard qui constitue le lien entre l’Argentine et notre ville. Une transition parfaite pour Gonzague Saint-Bris : d’une voix d’abord posée, puis par moments vibrante aux accents d’André Malraux, le journaliste-écrivain raconta avec brio l’histoire épique de ce marin-pêcheur tropézien qui devint un héros de la Révolution du pays albiceleste.
Après ce remarquable exposé, son Excellence Luis Ureta de Saenz Peé±a, ambassadeur de la République argentine en France, et le maire Jean-Pierre Tuveri ont dévoilé le buste en bronze offert par l’Etat argentin. Les hymnes des deux pays et la levée des couleurs ont ponctué la partie protocolaire de la soirée, scellant le lien entre Saint-Tropez et le pays d’Amérique latine.
Voir sur l’agenda