Dans le cadre de la commémoration de l’appel historique du 18 juin 1940, la municipalité avait donné rendez-vous aux Tropéziennes et aux Tropéziens, samedi matin à 11h, devant la stèle dédiée au général de Gaulle. Encadré par les porte-drapeaux des associations patriotiques tropéziennes, le conseiller municipal délégué Henri Prevost-Allard a relu le texte de l’appel que le général de Gaulle a prononcé à l’antenne de la BBC.
Le maire Jean-Pierre Tuveri a donné lecture du message écrit par le ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet. «En entretenant, aujourd’hui encore, le souvenir de cet Appel, nous ne rendons pas seulement hommage à l’homme qui dit non, au chef de guerre exceptionnel qui incarna l’honneur d’un pays asservi et à l’homme d’Etat qui prit en main le destin de la France. Nous honorons la mémoire de celles et ceux, épris d’idéal, de justice et de liberté, qui, au péril de leur vie, malgré la traque, la répression et la torture, eurent le courage de relever la tête et de poursuivre le combat».
Dans le cadre de la commémoration de l’appel historique du 18 juin 1940, la municipalité avait donné rendez-vous aux Tropéziennes et aux Tropéziens, samedi matin à 11h, devant la stèle dédiée au général de Gaulle. Encadré par les porte-drapeaux des associations patriotiques tropéziennes, le conseiller municipal délégué Henri Prevost-Allard a relu le texte de l’appel que le général de Gaulle a prononcé à l’antenne de la BBC.
Le maire Jean-Pierre Tuveri a donné lecture du message écrit par le ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet. «En entretenant, aujourd’hui encore, le souvenir de cet Appel, nous ne rendons pas seulement hommage à l’homme qui dit non, au chef de guerre exceptionnel qui incarna l’honneur d’un pays asservi et à l’homme d’Etat qui prit en main le destin de la France. Nous honorons la mémoire de celles et ceux, épris d’idéal, de justice et de liberté, qui, au péril de leur vie, malgré la traque, la répression et la torture, eurent le courage de relever la tête et de poursuivre le combat».