Depuis le confinement, la Ville est toujours en attente du feu vert de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) pour la reprise des travaux de réfection du clocher de l’église paroissiale et de rénovation de la chapelle Sainte-Anne.
Sur le premier chantier, un échafaudage avait été installé fin février afin de procéder à une inspection technique des quatre faces du clocher avec prélèvement et analyse des enduits. Cette inspection est toujours en attente. Le clocheton formant la partie jaune du clocher, a priori fissuré, ainsi que le campanile fortement dégradé devaient également être inspectés et réparés ou restaurés dans les meilleurs délais.
Avant le confinement, la réfection des enduits extérieurs était envisagée par la DRAC à l’automne, mais ce calendrier ne pourra – forcément – être tenu.
Pour le second chantier, celui de la chapelle Sainte-Anne, des échafaudages avaient été installés début février afin de permettre, après inspection de la couverture et de la charpente, la réfection de la toiture du monument.
Il devait être également être procédé à des prélèvements et analyses des enduits extérieurs, ainsi qu’à la recherche technique de tout élément identifiant les causes d’humidité et d’infiltration que subit la chapelle.
A compter de juin, il était envisagé de décrouter des enduits extérieurs superficiels pour laisser « respirer » les murs durant tout l’été, avant une réfection de tous les enduits et des éléments peints à l’automne. Ce chantier devait s’accompagner, dès le feu vert de la Direction régionale des affaires culturelles, de la remise en place des ex-voto et l’installation d’un éclairage les mettant en valeur et d’une sécurité alarme. Là encore, on attend la visite de la DRAC…