Avant les réjouissances du soir, bal populaire, parade aux lampions et feu d’artifice, la municipalité avait donné rendez-vous aux Tropéziens dans le jardin de la salle Jean-Despas pour une cérémonie commémorative du 14 juillet 1789, date ô combien symbolique pour la nation française. Dans son allocution prononcé devant le monument de la Libération, le maire Jean-Pierre Tuveri a rappelé la genèse de l’instauration de cette date de fête nationale : «Nous commémorons, en effet, aujourd’hui, un jour historique car depuis la loi du 6 juillet 1880 votée sous la 3ème République, la fête de la Fédération de 1790 a été instituée comme fête nationale de la République française. Le choix de cette date est en lui même porteur de sens, car, plus que la date pourtant symbolique de la prise de la bastille du 14 juillet 1789, l’assemblée nationale décida qu’il convenait pour notre pays de commémorer chaque année, le souvenir, de la fête de la Fédération qui se déroula en commémoration de cet événement un an plus tard. Je cite le rapporteur parlementaire: » N’oubliez-pas qu’après la journée du 14 juillet 1789, il y a eu la journée du 14 juillet 1790. Cette journée là, a été la consécration de l’unité de la France. La révolution, ce jour là, le 14 juillet 1790 a donné à la France conscience d’elle même, elle a révélé à elle même l’âme de la France».
Avant le traditionnel dépôt de gerbes, le premier magistrat tropézien a tenu à rappeler les valeurs fondatrices de la République : elle est une et indivisible, démocratique et laïque, solidaire, respectueuse des droits de l’homme et depuis, 2003, décentralisée.
En soirée, c’est un bal populaire qui a ouvert le ban des réjouissances, à 21h sur la batterie du môle Jean-Réveille. Une heure plus tard, les enfants et leurs enfants ont défilé aux lampions derrière la troupe des «Fifres et tambours» jusqu’à la batterie, d’où ils ont pu admirer le feu d’artifice tiré en mer à 22h45.
Avant les réjouissances du soir, bal populaire, parade aux lampions et feu d’artifice, la municipalité avait donné rendez-vous aux Tropéziens dans le jardin de la salle Jean-Despas pour une cérémonie commémorative du 14 juillet 1789, date ô combien symbolique pour la nation française. Dans son allocution prononcé devant le monument de la Libération, le maire Jean-Pierre Tuveri a rappelé la genèse de l’instauration de cette date de fête nationale : «Nous commémorons, en effet, aujourd’hui, un jour historique car depuis la loi du 6 juillet 1880 votée sous la 3ème République, la fête de la Fédération de 1790 a été instituée comme fête nationale de la République française. Le choix de cette date est en lui même porteur de sens, car, plus que la date pourtant symbolique de la prise de la bastille du 14 juillet 1789, l’assemblée nationale décida qu’il convenait pour notre pays de commémorer chaque année, le souvenir, de la fête de la Fédération qui se déroula en commémoration de cet événement un an plus tard. Je cite le rapporteur parlementaire: » N’oubliez-pas qu’après la journée du 14 juillet 1789, il y a eu la journée du 14 juillet 1790. Cette journée là, a été la consécration de l’unité de la France. …La révolution, ce jour là, le 14 juillet 1790 a donné à la France conscience d’elle même, elle a révélé à elle même l’âme de la France».
Avant le traditionnel dépôt de gerbes, le premier magistrat tropézien a tenu à rappeler les valeurs fondatrices de la République : elle est une et indivisible, démocratique et laé¯que, solidaire, respectueuse des droits de l’homme et depuis, 2003, décentralisée.
En soirée, c’est un bal populaire qui a ouvert le ban des réjouissances, à 21h sur la batterie du môle Jean-Réveille. Une heure plus tard, les enfants et leurs enfants ont défilé aux lampions derrière la troupe des «Fifres et tambours» jusqu’é la batterie, d’où ils ont pu admirer le feu d’artifice tiré en mer à 22h45.