Conférence - Conversation d’Agnès avec Thomas Schlesser

«Ce qui compte dans l’art n’est pas l’art lui-même mais la portée existentielle de l’art» annonce Thomas Schlesser, historien de l’art, directeur de la Fondation Hartung-Bergman, professeur à l’École Polytechnique et auteur d’un livre-phénomène : «Les Yeux de Mona» paru en juillet 2024 chez Albin Michel. Un livre vendu a 350 000 exemplaires en France, 600 000 en Europe, un livre qui se prépare à conquérir l’Amérique en septembre 2025. Un livre qui sera adapté au cinéma dans l’année. Un livre qui réalise la prédiction risquée de son éditeur «Le Roman Français qui a conquis le monde» puisqu’elle fut écrite sur un bandeau cerclant ce beau bébé de 500 pages avant même sa sortie ! Magique ? Non, car profondément sincère et humain. Non, car il s’origine d’une douleur profonde - «une vallée de larmes» - délicatement évoquée par l’auteur. Non, car au-delà de sa dimension personnelle il a cette portée universelle contenue dans ce qui le traverse, sa visée : l'art au service de la vie, l’art qui éclaire la vie et la soutient parfois (souvent) notamment quand une petite fille de 9 ans, Mona, risque de perdre la vue et que son grand-père, Dadé, décide de la prendre par la main pour l’entrainer au Louvre, puis à Orsay et à Beaubourg afin qu’elle rencontre la Beauté du monde.

Et surtout qu’elle l’imprime, au rythme d’une oeuvre par semaine, et lui permette de s’élever au sens propre.
Plus qu’un livre, ce roman est une expérience. Une expérience dans laquelle, vous êtes, Je suis Mona.

Alors pour cette première conversation de l’été : Laissez-vous embarquez !