En 1952, trois marins français et italiens eurent l’idée de créer une course nautique à partir d’un parcours toujours identique qui contourne le rocher de la Giraglia et avec l’objectif d’œuvrer au rapprochement entre la France et l’Italie, quelques année seulement après la fin de la guerre.
Pour cette première édition, 22 bateaux étaient alors inscrits. 62 ans plus tard, la Giraglia, parrainée depuis 1998 par l’horloger suisse Rolex, a réuni un exceptionnel plateau de 230 voiliers, record battu, dont des yachts de course parmi les plus modernes au monde et des skippers de renom, comme Lionel Péan ou Marc Pajot.
Les quelque 3 000 marins représentant une douzaine de pays ont régaté trois jours, du 15 au 17 juin, dans le golfe de Saint-Tropez avant de hisser la grand’voile, mercredi 18 juin dans l’après-midi, en présence de la frégate Jean de Vienne, vers la Corse puis de bifurquer vers une destination inédite. En effet, pour la première fois, après San Remo et Gênes, c’est Monaco qui a offert son port pour accueillir l’arrivée de cette édition le 19 juin. Au bout des 248 milles nautiques, le favori Esimit Europa 2 et son fabuleux mât de 44 mètres de haut a franchi la ligne d’arrivée en 24h et 35 minutes, devant Robertissima III et le SFS skippé par Lionel Péan.
En 1952, trois marins français et italiens eurent l’idée de créer une course nautique à partir d’un parcours toujours identique qui contourne le rocher de la Giraglia et avec l’objectif d’œuvrer au rapprochement entre la France et l’Italie, quelques année seulement après la fin de la guerre.
Pour cette première édition, 22 bateaux étaient alors inscrits. 62 ans plus tard, la Giraglia, parrainée depuis 1998 par l’horloger suisse Rolex, a réuni un exceptionnel plateau de 230 voiliers, record battu, dont des yachts de course parmi les plus modernes au monde et des skippers de renom, comme Lionel Péan ou Marc Pajot.
Les quelque 3 000 marins représentant une douzaine de pays ont régaté trois jours, du 15 au 17 juin, dans le golfe de Saint-Tropez avant de hisser la grand’voile, mercredi 18 juin dans l’après-midi, en présence de la frégate Jean de Vienne, vers la Corse puis de bifurquer vers une destination inédite. En effet, pour la première fois, après San Remo et Gênes, c’est Monaco qui a offert son port pour accueillir l’arrivée de cette édition le 19 juin. Au bout des 248 milles nautiques, le favori Esimit Europa 2 et son fabuleux mât de 44 mètres de haut a franchi la ligne d’arrivée en 24h et 35 minutes, devant Robertissima III et le SFS skippé par Lionel Péan.