Récemment élevé au rang de prélat de l’Eglise catholique par le pape Benoît XVI ce qui lui confère le titre de « Monseigneur », Michel Hayes, curé de la paroisse de Saint-Tropez, a reçu les honneurs de la municipalité, jeudi 15 mars, à l’occasion d’une réception amicale dans la salle d’honneur de la Glaye, en présence de nombreuses personnalités locales. L’occasion pour le maire Jean-Pierre Tuveri de féliciter le plus anglophone des Tropéziens, Michel Hayes étant d’origine galloise.
« Ainsi que j’ai eu l’occasion de vous l’écrire, cette haute distinction est la juste récompense de votre engagement pastoral. Très proche de votre paroisse et de vos paroissiens dont vous avez su vous attacher la confiance et l’estime, vous avez su aussi, de par vos racines et votre parcours assez exceptionnel, vous montrer à même dans votre sacerdoce de répondre à la dimension, qu’on le veuille ou non, de plus en plus internationale de Saint-Tropez et donc de ses paroissiens.
La distinction qui a été faite à votre personne rejaillit positivement aussi, dans une certaine mesure, sur notre ville et l’ensemble de la communauté villageoise. C’est d’ailleurs tout le sens de l’organisation de cette amicale cérémonie. Cela tient peut être aussi à certains particularismes locaux auxquels nous sommes très attachés ici à Saint-Tropez et qui font toute la spécificité et la force de notre cité, où en dépit d’une application au plan administratif de la loi de 1905, il n’y a jamais eu véritablement de séparation entre l’Eglise et l’Etat ou tout au moins entre la paroisse et la mairie, le curé et le maire».
Le maire a ensuite remis un présent au prélat, une reproduction d’un tableau de 1907 d’Auguste Pégurier représentant la procession du 17 mai sur le port, au début du siècle dernier. Avant de conclure par les paroles d’un poème du cardinal américain John Henry Newman : «Conduis-moi, douce lumière, parmi l’obscurité qui m’environne, conduis-moi ! La nuit est sombre, et je suis loin du foyer, conduis-moi ! ».
Puisse la douce lumière de Saint-Tropez continuer à veiller sur notre cher Michel !
Récemment élevé au rang de prélat de l’Eglise catholique par le pape Benoît XVI ce qui lui confère le titre de «Monseigneur», Michel Hayes, curé de la paroisse de Saint-Tropez, a reçu les honneurs de la municipalité, jeudi 15 mars, à l’occasion d’une réception amicale dans la salle d’honneur de la Glaye, en présence de nombreuses personnalités locales. L’occasion pour le maire Jean-Pierre Tuveri de féliciter le plus anglophone des Tropéziens, Michel Hayes étant d’origine galloise.
«Ainsi que j’ai eu l’occasion de vous l’écrire, cette haute distinction est la juste récompense de votre engagement pastoral. Très proche de votre paroisse et de vos paroissiens dont vous avez su vous attacher la confiance et l’estime, vous avez su aussi, de par vos racines et votre parcours assez exceptionnel, vous montrer à même dans votre sacerdoce de répondre à la dimension, qu’on le veuille ou non, de plus en plus internationale de Saint-Tropez et donc de ses paroissiens.
La distinction qui a été faite à votre personne rejaillit positivement aussi, dans une certaine mesure, sur notre ville et l’ensemble de la communauté villageoise. C’est d’ailleurs tout le sens de l’organisation de cette amicale cérémonie. Cela tient peut être aussi à certains particularismes locaux auxquels nous sommes très attachés ici à Saint-Tropez et qui font toute la spécificité et la force de notre cité, où en dépit d’une application au plan administratif de la loi de 1905, il n’y a jamais eu véritablement de séparation entre l’Eglise et l’Etat ou tout au moins entre la paroisse et la mairie, le curé et le maire».
Le maire a ensuite remis un présent au prélat, une reproduction d’un tableau de 1907 d’Auguste Pégurier représentant la procession du 17 mai sur le port, au début du siècle dernier. Avant de conclure par les paroles d’un poème du cardinal américain John Henry Newman : «Conduis-moi, douce lumière, parmi l’obscurité qui m’environne, conduis-moi ! La nuit est sombre, et je suis loin du foyer, conduis-moi !».
Puisse la douce lumière de Saint-Tropez continuer à veiller sur notre cher Michel !