En conclusion d’une semaine marquée par une belle affluence dans la salle de la Renaissance, le jury des Rencontres internationales du cinéma des Antipodes a primé un film néo-zélandais « The dark horse ». Le palmarès de cette 17e édition, dévoilé lors de la remise des prix samedi 17 octobre à la même heure qu’un désormais tristement célèbre France – Nouvelle-Zélande en rugby, a également distingué les acteurs Whirimako Black et Ed Oxenboulrd pour leurs rôles respectifs dans « White lies » et « Paper planes », ce dernier long-métrage australien remportant également le prix du public. Un peu plus tôt, en début de soirée, le maire Jean-Pierre Tuveri a reçu en mairie son Excellence Stephen Brady l’ambassadeur d’Australie, et Mme Emma Nichols, 2e secrétaire de l’ambassade de Nouvelle-Zélande, ainsi que les membres du jury présidé par l’acteur australien Bryan Brown, l’un des héros, avec son épouse Rachel Ward, également présente, de la série « Les oiseaux se cachent pour mourir » qui fit fureur à la fin des années 1980, et le président du cinéma des Antipodes, Bernard Bories.
En conclusion d’une semaine marquée par une belle affluence dans la salle de la Renaissance, le jury des Rencontres internationales du cinéma des Antipodes a primé un film néo-zélandais « The dark horse ». Le palmarès de cette 17e édition, dévoilé lors de la remise des prix samedi 17 octobre à la même heure qu’un désormais tristement célèbre France – Nouvelle-Zélande en rugby, a également distingué les acteurs Whirimako Black et Ed Oxenboulrd pour leurs rôles respectifs dans « White lies » et « Paper planes », ce dernier long-métrage australien remportant également le prix du public. Un peu plus tôt, en début de soirée, le maire Jean-Pierre Tuveri a reçu en mairie son Excellence Stephen Brady l’ambassadeur d’Australie, et Mme Emma Nichols, 2e secrétaire de l’ambassade de Nouvelle-Zélande, ainsi que les membres du jury présidé par l’acteur australien Bryan Brown, l’un des héros, avec son épouse Rachel Ward, également présente, de la série « Les oiseaux se cachent pour mourir » qui fit fureur à la fin des années 1980, et le président du cinéma des Antipodes, Bernard Bories.