Même si la pluie a quelque peu perturbé le programme de ce week-end dédié au folklore provençal, le 60e anniversaire de Lou Rampèu de Sant Troupès restera dans les mémoires comme le souvenir d’une fête réussie. Plus de 600 personnes ont ainsi assisté, samedi soir dans le cadre magique de la citadelle, à un superbe spectacle consacrant les danses traditionnelles des groupes locaux, le Rampèu et l’Escandihado de Grimaud-Cogolin, et osant aussi des chorégraphies plus modernes, comme celle du ballet arlésien «Art’Relate».
Dimanche, la messe initialement programmée en plein air s’est déroulée à l’église, qui résonne encore des chants de la chorale du Rampèu, dirigée par Bernard Romagnan. Après l’office, les jeunes filles du groupe irlandais Ui Rairc et les enfants du Rampèu se sont particulièrement distingués parmi les formations qui ont présenté leurs aubades sur la place de la mairie. Le spectacle s’est ensuite poursuivi, après le déjeuner, à l’abri de la pluie battante, dans la salle Jean-Despas, par une revue complète du savoir-faire des groupes présents.
A l’heure du bilan de l’événement, Josette Bain, la «patronne» historique du Rampèu, pouvait être fière de ses troupes et se dire que la relève était assurée.
Même si la pluie a quelque peu perturbé le programme de ce week-end dédié au folklore provençal, le 60e anniversaire de Lou Rampèu de Sant Troupès restera dans les mémoires comme le souvenir d’une fête réussie. Plus de 600 personnes ont ainsi assisté, samedi soir dans le cadre magique de la citadelle, à un superbe spectacle consacrant les danses traditionnelles des groupes locaux, le Rampèu et l’Escandihado de Grimaud-Cogolin, et osant aussi des chorégraphies plus modernes, comme celle du ballet arlésien «Art’Relate».
Dimanche, la messe initialement programmée en plein air s’est déroulée à l’église, qui résonne encore des chants de la chorale du Rampèu, dirigée par Bernard Romagnan. Après l’office, les jeunes filles du groupe irlandais Ui Rairc et les enfants du Rampèu se sont particulièrement distingués parmi les formations qui ont présenté leurs aubades sur la place de la mairie. Le spectacle s’est ensuite poursuivi, après le déjeuner, à l’abri de la pluie battante, dans la salle Jean-Despas, par une revue complète du savoir-faire des groupes présents.
A l’heure du bilan de l’événement, Josette Bain, la «patronne» historique du Rampèu, pouvait être fière de ses troupes et se dire que la relève était assurée.