Relancé en 2000 par l’ancien champion de rallye et vainqueur du Paris-Dakar, Patrick Zaniroli et son épouse Viviane, cet événement « festivo-sportif » est parti de Paris le 1er juin pour rallier Saint-Tropez, au bout de 1 700 km de bitume, via des escales à Vittel, Aix-les-Bains, Les Deux-Alpes et Mallemort.
Une douce ballade pour la plupart des véhicules réparties en trois catégories, « Historic », « Classic » et « Prestige », du plus ancien au plus récent, qui n’avait pas l’autorisation de rouler au-delà d’une certaine moyenne. A titre d’exemple, une Triumph des années 60 ne pouvait dépasser les 50 km/h.
Pour le plus grand plaisir des Tropéziens et des visiteurs, c’est donc à une toute petite allure, à la manière des mannequins, que les belles mécaniques et leurs tout aussi rutilantes conductrices ont franchi la ligne d’arrivée sur le quai Suffren, avant de se dorer au soleil de la place des Lices.
Relancé en 2000 par l’ancien champion de rallye et vainqueur du Paris-Dakar, Patrick Zaniroli et son épouse Viviane, cet événement « festivo-sportif » est parti de Paris le 1er juin pour rallier Saint-Tropez, au bout de 1 700 km de bitume, via des escales é ) Vittel, Aix-les-Bains, Les Deux-Alpes et Mallemort.
Une douce ballade pour la plupart des véhicules réparties en trois catégories, « Historic », « Classic » et « Prestige », du plus ancien au plus récent, qui n’avait pas l’autorisation de rouler au-delà d’une certaine moyenne. A titre d’exemple, une Triumph des années 60 ne pouvait dépasser les 50 km/h.
Pour le plus grand plaisir des Tropéziens et des visiteurs, c’est donc à une toute petite allure, à la manière des mannequins, que les belles mécaniques et leurs tout aussi rutilantes conductrices ont franchi la ligne d’arrivée sur le quai Suffren, avant de se dorer au soleil de la place des Lices.