Une foule inhabituelle s’est pressée dimanche matin, 15 avril, aux aurores autour du vieux port. En maillots colorés et en cuissards, plus d’un millier de coureurs et leurs vélos ont patienté dans les trois sas de départ répartis sur les quais Suffren et Jaurès avant de s’élancer à 8 heures précises en direction de la sortie de ville. Le départ a été donné par le conseiller délégué aux sports, Laurent Petit.
Pour cette 26e édition de la Colnago Granfondo, les cyclotouristes avaient le choix entre trois parcours de 59, 136 et 179 kilomètres. Pas moins de dix nationalités différentes étaient représentées sur les différents parcours qui ont emprunté les cols du Canadel, de Colebasse, du Babaou ou de Notre-Dame des Anges dans le massif des Maures.
C’est le belge Bart Deurbroeck qui a remporté au sprint la course, inscrite au calendrier de l’Union cycliste internationale, dans la catégorie «le master 179 km» et le Hyérois Jérémy Ortiz a enlevé l’épreuve des «seniors 136 km».
Une foule inhabituelle s’est pressée dimanche matin, 15 avril, aux aurores autour du vieux port. En maillots colorés et en cuissards, plus d’un millier de coureurs et leurs vélos ont patienté dans les trois sas de départ répartis sur les quais Suffren et Jaurès avant de s’élancer à 8 heures précises en direction de la sortie de ville. Le départ a été donné par le conseiller délégué aux sports, Laurent Petit.
Pour cette 26e édition de la Colnago Granfondo, les cyclotouristes avaient le choix entre trois parcours de 59, 136 et 179 kilomètres. Pas moins de dix nationalités différentes étaient représentées sur les différents parcours qui ont emprunté les cols du Canadel, de Colebasse, du Babaou ou de Notre-Dame des Anges dans le massif des Maures.
C’est le belge Bart Deurbroeck qui a remporté au sprint la course, inscrite au calendrier de l’Union cycliste internationale, dans la catégorie «le master 179 km» et le Hyérois Jérémy Ortiz a enlevé l’épreuve des «seniors 136 km».