Treize jours après les terribles attentats qui ont frappé Paris, les Tropéziens se sont rassemblés autour de la famille De Peretti pour rendre un dernier hommage à Aurélie, 33 ans, lâchement tuée au Bataclan. Après la messe célébrée par le père Gouarin, curé de la paroisse, le cercueil a été déposée place de la mairie, devant le portrait géant de la jeune Tropézienne.
« Aujourd’hui, nous sommes réunis pour rendre un hommage, pour dire un adieu à Aurélie, une enfant de notre cité, notre enfant et pour manifester notre solidarité et entourer son papa Jean-Marie De Peretti, sa maman Laurence, sa sœur Delphine et tous leurs proches, pour leur dire que nous sommes de tout cœur avec eux et que ce matin et à jamais nous sommes tous avec toi Aurélie, a dit le maire Jean-Pierre Tuveri . Car à travers toi Aurélie, c’est toute la famille tropézienne qui est touchée et qui est représentée, non seulement physiquement par tous ceux extrêmement nombreux qui sont présents ici pour te rendre hommage, mais aussi symboliquement par des ballons aux couleurs de la ville, blancs et rouges qui tout à l’heure s’envoleront. Toi qui étais très attachée à notre cité et à la presqu’île, toi qui incarnais si bien cette pétillante jeunesse dont nous sommes très fiers. Tu étais belle, souriante, intelligente, musicienne, ouverte sur le monde et ses cultures, travailleuse, très appliquée et reconnue de tous, altruiste très impliquée dans la vie associative.
A la demande de tes parents nous avons voulu que cette cérémonie soit une grande communion, mais aussi une ode à la fraternité, à la vie, toi qui l’aimait passionnément, car si ces criminels te l’ont ôtée, ils ne pourront jamais t’enlever de nos cœurs et de notre souvenir ».
Avant le mot du sous-préfet Philippe Portal et de Jean-Marie de Peretti, le père d’Aurélie, le maire a cité ces paroles du Mahatma Gandhi : « La haine tue toujours, l’amour ne meurt jamais ».
Treize jours après les terribles attentats qui ont frappé Paris, les Tropéziens se sont rassemblés autour de la famille De Peretti pour rendre un dernier hommage à Aurélie, 33 ans, lâchement tuée au Bataclan. Après la messe célébrée par le père Gouarin, curé de la paroisse, le cercueil a été déposée place de la mairie, devant le portrait géant de la jeune Tropézienne.
« Aujourd’hui, nous sommes réunis pour rendre un hommage, pour dire un adieu à Aurélie, une enfant de notre cité, notre enfant et pour manifester notre solidarité et entourer son papa Jean-Marie De Peretti, sa maman Laurence, sa sœur Delphine et tous leurs proches, pour leur dire que nous sommes de tout cœur avec eux et que ce matin et à jamais nous sommes tous avec toi Aurélie, a dit le maire Jean-Pierre Tuveri . Car à travers toi Aurélie, c’est toute la famille tropézienne qui est touchée et qui est représentée, non seulement physiquement par tous ceux extrêmement nombreux qui sont présents ici pour te rendre hommage, mais aussi symboliquement par des ballons aux couleurs de la ville, blancs et rouges qui tout à l’heure s’envoleront. Toi qui étais très attachée à notre cité et à la presqu’île, toi qui incarnais si bien cette pétillante jeunesse dont nous sommes très fiers. Tu étais belle, souriante, intelligente, musicienne, ouverte sur le monde et ses cultures, travailleuse, très appliquée et reconnue de tous, altruiste très impliquée dans la vie associative.
A la demande de tes parents nous avons voulu que cette cérémonie soit une grande communion, mais aussi une ode à la fraternité, à la vie, toi qui l’aimait passionnément, car si ces criminels te l’ont ôtée, ils ne pourront jamais t’enlever de nos cœurs et de notre souvenir ».
Avant le mot du sous-préfet Philippe Portal et de Jean-Marie de Peretti, le père d’Aurélie, le maire a cité ces paroles du Mahatma Gandhi : « La haine tue toujours, l’amour ne meurt jamais ».