Il y a 50 ans, un «tube» traversait l’Italie comme une vague. Sur toutes les ondes, sur toutes les radios et sur les premières chaines de la télévision italienne, « Saint-Tropez Twist » lançait le phénomène d’une nouvelle danse toute en torsion, par la grâce d’un chanteur napolitain à la voix de crooner, Peppino di Capri. Et par la même occasion, le nom du village de Saint-Tropez devenait célèbre dans la péninsule.
Mardi 28 juin, dans la salle de la Glaye, le maire Jean-Pierre Tuveri a rendu, dans la langue de Dante, un hommage appuyé à ce formidable ambassadeur de Saint-Tropez en Italie, Peppino di Capri en personne, en lui remettant la médaille d’argent de la ville, sous l’œil des caméras de nombreux médias italiens dont la RAI. Cinquante ans après, le crooner à la chevelure blanche s’est remis au piano, un peu plus tard dans la soirée, à l’hôtel Byblos pour un dernier twist à Saint-Tropez.
Il y a 50 ans, un «tube» traversait l’Italie comme une vague. Sur toutes les ondes, sur toutes les radios et sur les premières chaines de la télévision italienne, «Saint-Tropez Twist» lançait le phénomène d’une nouvelle danse toute en torsion, par la grâce d’un chanteur napolitain à la voix de crooner, Peppino di Capri. Et par la même occasion, le nom du village de Saint-Tropez devenait célèbre dans la péninsule.
Mardi 28 juin, dans la salle de la Glaye, le maire Jean-Pierre Tuveri a rendu, dans la langue de Dante, un hommage appuyé à ce formidable ambassadeur de Saint-Tropez en Italie, Peppino di Capri en personne, en lui remettant la médaille d’argent de la ville, sous l’œil des caméras de nombreux médias italiens dont la RAI. Cinquante ans après, le crooner à la chevelure blanche s’est remis au piano, un peu plus tard dans la soirée, à l’hôtel Byblos pour un dernier twist à Saint-Tropez.